Date: 24 Avril 2018
Publié Par: Laura Lévesque
L’Association des fournisseurs de Chantier Davie Canada somme Justin Trudeau de conclure les négociations liées à l’acquisition des quatre brise-glaces pour freiner les pertes d’emplois. Le regroupement, dont font partie des entreprises du Saguenay-Lac-Saint-Jean, a profité du passage du premier ministre dans la région pour rappeler l’urgence de la situation.
Il y a près de deux mois, le premier ministre avait assuré que les négociations allaient se tenir rapidement pour le projet Resolute, étudié depuis 2016 par le gouvernement fédéral et qui vise à renouveler la flotte de la Garde côtière. Mais les négociations piétinent, estiment le Chantier Davie et ses sous-traitants, qui se voient obligés de mettre à pied des centaines de travailleurs.
« On parle désormais d’une véritable saignée au sein de la chaîne d’approvisionnement. Les pertes d’emplois auprès des fournisseurs s’élèvent à plus de 700 dans les régions du Québec en plus des 800 mises à pied que Chantier Davie a été contraint d’effectuer vers la fin de l’année dernière en raison de la perte du contrat du second navire ravitailleur de la Marine canadienne, l’Obelix », a insisté Pierre Drapeau, président de la Fondation Chefs d’Entreprises et membre fondateur de l’Association des fournisseurs de Chantier Davie Canada.
Ce dernier, en compagnie du président de l’entreprise Char-Pol de la Baie, Richard Tremblay, a tenu un point de presse devant le centre des technologies du CNRC où se trouvait le premier ministre Trudeau, lundi matin.
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« On est venu lui rappeler poliment l’urgence de conclure ces négociations. Lorsque la Davie fonctionne à plein régime, chez nous, ça représente 100 travailleurs. Ça veut dire 100 familles. Lorsque ces gens quittent, ils ne reviennent plus. On ne peut pas se permettre de perdre cette expertise dans le domaine maritime », a plaidé pour sa part M. Tremblay, espérant que le message se rende à Justin Trudeau.
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